Des nouvelles des bénéficiaires de la bourse Frances E. Russell!
Marjorie Russell, aujourd’hui décédée, a créé en 1982 la bourse Frances E. Russell en mémoire de sa sœur, qui a longtemps soutenu IBBY-Canada. Depuis, des universitaires et auteur(e)s d’œuvres de fiction ou d’ouvrages documentaires destinés aux jeunes ont reçu cette bourse et publié du matériel dans le but de « susciter et encourager la recherche en littérature jeunesse sous toutes ses formes ».
Catherine Ross/Corrine Davies (1982), Shirley Wright (1983), Jacques La Mothe (1984), André Gagnon (1985), Judith Saltman (1986), Joan Weller (1987), Ronald A. Jobe (1988), David Jenkinson (1989), Judy Arter (1990), Linda Granfield (1991), Jean Stringam (1995), Suzanne Pouliot (1996), Carole Carpenter (1997), Mavis Reimer et Anne Rusnak (1999), Sydell Waxman (2000), Françoise Lepage (2001), Lynn Westerhout (2002), Joanna Emery (2003), Krista V. Johansen (2004), Michelle Cobban (2005), Michelle Mulder (2006), Gail Edwards et Judith Saltman (2007), ainsi que Vivian Howard (2009) figurent parmi les premiers bénéficiaires de cette bourse.
Cinq personnes ont obtenu la bourse Russell au cours de la dernière décennie. J’ai demandé à chacune l’orientation qu’avaient prise leurs recherches dans le domaine de la littérature canadienne pour enfants depuis qu’elles avaient reçu cette bourse.
Paulette Rothbauer a remporté la bourse Russell en 2011 pour sa proposition axée sur l’émergence et la promotion de la littérature jeunesse de langue anglaise au Canada. Les conclusions de ce projet ont été publiées dans un article intitulé « Kevin Major’s Hold Fast and the Critical Reception of a Milestone Canadian Novel for Young Adults » (« Hold Fast de Kevin Major et la réception critique d’un roman jeunesse marquant au Canada ») paru dans Jeunesse: Young People, Texts, Cultures (2012). Mme Rothbauer, Ph. D., est aujourd’hui professeure agrégée à la Faculté de l’information et des études des médias de l’Université Western Ontario, où elle enseigne principalement aux étudiants des cycles supérieurs en bibliothéconomie et en sciences de l’information. Ses travaux de recherche antérieurs portaient sur les pratiques de jeunes femmes queer et d’adolescents vivant en milieu rural ou dans de petites villes en ce qui trait à la lecture, à l’identité et aux bibliothèques.
Elle répond qu’après avoir reçu la bourse, « [s]es recherches sont demeurées ancrées dans l’examen empirique du rôle de la lecture dans la vie quotidienne des adolescents et des jeunes adultes. Dans un monde hypermédiatisé, où de multiples modes d’engagements médiatiques s’offrent aux jeunes, l’étude du choix perpétuel et libre de lectures agréables continue de fournir des indications importantes pour notre compréhension des jeunes adultes et du sens que ces derniers dégagent de la lecture. Le statut des ouvrages choisis constitue un élément crucial de mes recherches actuelles, plus particulièrement dans le contexte de l’essor continu que connaît l’édition de livres jeunesse dans le monde entier. »
Beverley Brenna, qui a reçu la bourse Russell en 2012, a publié plus d’une douzaine d’ouvrages destinés aux jeunes et enseigne actuellement au College of Education de l’Université de la Saskatchewan. Dans ses recherches, elle s’intéresse notamment à la littérature canadienne pour enfants et à la littératie. Son roman pour jeunes adultes The White Bicycle (La bicyclette blanche), publié par Red Deer Press, était en lice en 2013 pour le Prix littéraire du gouverneur général, catégorie littérature jeunesse; son plus récent ouvrage, Sapphire the Great and the Meaning of Life (Saphir la grande et le sens de la vie), œuvre de fiction destinée aux élèves de niveau intermédiaire, vise à présenter des personnages LGBTQ+ à un jeune lectorat. Dans ses recherches lui ayant valu la bourse Russell, Mme Brenna, Ph. D., se penchait sur les romans illustrés canadiens afin de cerner des traits et des éléments communs aux ouvrages du genre. Pour en savoir plus sur ses travaux et visualiser des documents PDF de ses recherches sur les romans illustrés, consultez la page des archives sur le site http://www.beverleybrenna.com.
Elle affirme que recevoir la bouse Russell « s’est avéré un formidable tremplin pour diverses activités de recherche et d’enseignement connexes », et que depuis, elle « a réalisé d’autres activités en classe à l’aide de romans illustrés, de même qu’étudié des romans en vers canadiens afin d’en dégager des tendances et des thèmes ». Elle mène actuellement des recherches sur les livres d’images canadiens publiés de 2017 à 2020 grâce à une subvention « Savoir » du CRSH. Désireuse de combler des lacunes perçues dans le contenu offert aux jeunes lecteurs à l’appui des idéaux de justice sociale, Mme Brenna publiera un livre d’images et un autre roman destiné aux élèves de niveau intermédiaire chez Red Deer Press/Fitzhenry & Whiteside au cours de la prochaine année.
Bénéficiaire de la bourse Russell en 2013, Bonnie Tulloch est une étudiante au doctorat et boursière Vanier de l’iSchool de l’Université de la Colombie-Britannique. Elle effectue ses recherches dans le domaine des médias/de la littérature pour enfants et adolescents; sa thèse de doctorat examine les croisements entre l’information, la communication et le récit, en particulier en ce qui a trait à l’interaction des jeunes avec les mèmes d’Internet. Elle s’intéresse aussi à la poésie absurde et à la fiction insulaire pour enfants.
La bourse Russell lui a été décernée dans le cadre de ses travaux sur les romans insulaires canadiens pour enfants et adolescents, qui explorent les liens entre l’imagerie insulaire et l’identité féminine. Ses recherches actuelles approfondissent ces thèmes : « Je continue d’explorer les liens entre l’aventure et la vie domestique dans les romans jeunesse canadiens se déroulant en contexte insulaire et mettant en scène des protagonistes féminins. Je me penche actuellement sur la façon dont L.M. Montgomery et d’autres auteures canadiennes plus contemporaines (notamment Janet Lunn, Polly Horvath, Kit Pearson et Deirdre Baker) se servent de l’espace insulaire pour reconfigurer les limites génériques associées aux récits conventionnels destinés aux garçons et aux filles, créant ainsi un registre différent permettant de représenter et comprendre l’expérience humaine. Une présentation des résultats préliminaires de ces travaux lui ont valu le tout premier Dr. Elizabeth R. Epperly Award for Outstanding Early Career Paper (prix Dr. Elizabeth R. Epperly pour article exceptionnel présenté en début de carrière) du L.M. Montgomery Institute en 2018.
Erin Spring, bénéficiaire de la bourse Russell en 2014, est aujourd’hui professeure adjointe à la Werklund School of Education de l’Université de Calgary. Ses recherches, qui s’inscrivent dans un cadre multidisciplinaire, mettent l’accent sur les croisements de la fiction pour adolescents, du milieu et de la construction de l’identité chez les jeunes Canadiens.
La bourse Russell lui a été remise pour un projet se fondant sur les travaux qu’elles avaient entrepris dans le cadre de son doctorat à l’Université de Cambridge sur la réception faite à la fiction jeunesse contemporaine au Canada par les jeunes adultes autochtones. Elle a publié les résultats de ses recherches financées par IBBY dans divers journaux et recueils édités, dont Young People Reading: Empirical Research Across International Contexts (La lecture chez les jeunes : recherche empirique dans le contexte mondial), édité par Evelyn Arizpe et Gabrielle Cliff Hodges et récemment mis en nomination pour un prix décerné aux ouvrages universitaires par la United Kingdom Literacy Association. Mme Spring, Ph. D., collabore actuellement au projet « Six Seasons of the Asiniskow Ithiniwak: Reclamation, Regeneration, and Reconciliation » (« Six saisons du peuple Asiniskow Ithiniwak : revendication, revitalisation et réconciliation ») lancé par le Centre for Research in Young People’s Texts and Cultures (CRYTC) de l’Université de Winnipeg. Elle poursuit également son travail auprès de jeunes Autochtones et non-Autochtones en milieu urbain à Calgary.
Ruth Bradley-St-Cyr, bénéficiaire de la bourse Russell en 2016, a travaillé pendant trente ans dans l’industrie canadienne de l’édition, notamment dans les volets de l’édition, de la production et du marketing. Elle dirige maintenant Bradley-St-Cyr & Associates, sa propre entreprise de rédaction, de révision et de traduction, en plus d’enseigner la rédaction et le cinéma comme professeure à temps partiel à l’Université d’Ottawa, où elle a obtenu son doctorat en études anglaises et canadiennes en 2014. La bourse Russell a soutenu ses recherches sur les répercussions de la vente de la maison d’édition Ryerson Press, les conclusions de la Commission royale de l’Ontario sur l’édition du livre et le développement de la littérature jeunesse au Canada au début des années 1970.
Mme Bradley-St-Cyr, Ph. D., indique qu’après avoir reçu la bourse Russell, elle a présenté en 2018 un article de recherche intitulé « Ontario’s Royal Commission on … Children’s Literature? » (« La Commission royale de l’Ontario se penche sur… la littérature pour enfants? »), qui constitue le point de départ d’un chapitre d’un ouvrage qu’elle rédige actuellement sur la maison d’édition Ryerson Press et la Commission royale. La parution de ce livre est prévue peu après le cinquantième anniversaire de la vente de la maison d’édition, qui aura lieu à l’automne de 2020.
Des nouvelles des bénéficiaires de la bourse Frances E. Russell!
Marjorie Russell, aujourd’hui décédée, a créé en 1982 la bourse Frances E. Russell en mémoire de sa sœur, qui a longtemps soutenu IBBY-Canada. Depuis, des universitaires et auteur(e)s d’œuvres de fiction ou d’ouvrages documentaires destinés aux jeunes ont reçu cette bourse et publié du matériel dans le but de « susciter et encourager la recherche en littérature jeunesse sous toutes ses formes ».
Catherine Ross/Corrine Davies (1982), Shirley Wright (1983), Jacques La Mothe (1984), André Gagnon (1985), Judith Saltman (1986), Joan Weller (1987), Ronald A. Jobe (1988), David Jenkinson (1989), Judy Arter (1990), Linda Granfield (1991), Jean Stringam (1995), Suzanne Pouliot (1996), Carole Carpenter (1997), Mavis Reimer et Anne Rusnak (1999), Sydell Waxman (2000), Françoise Lepage (2001), Lynn Westerhout (2002), Joanna Emery (2003), Krista V. Johansen (2004), Michelle Cobban (2005), Michelle Mulder (2006), Gail Edwards et Judith Saltman (2007), ainsi que Vivian Howard (2009) figurent parmi les premiers bénéficiaires de cette bourse.
Cinq personnes ont obtenu la bourse Russell au cours de la dernière décennie. J’ai demandé à chacune l’orientation qu’avaient prise leurs recherches dans le domaine de la littérature canadienne pour enfants depuis qu’elles avaient reçu cette bourse.
Paulette Rothbauer a remporté la bourse Russell en 2011 pour sa proposition axée sur l’émergence et la promotion de la littérature jeunesse de langue anglaise au Canada. Les conclusions de ce projet ont été publiées dans un article intitulé « Kevin Major’s Hold Fast and the Critical Reception of a Milestone Canadian Novel for Young Adults » (« Hold Fast de Kevin Major et la réception critique d’un roman jeunesse marquant au Canada ») paru dans Jeunesse: Young People, Texts, Cultures (2012). Mme Rothbauer, Ph. D., est aujourd’hui professeure agrégée à la Faculté de l’information et des études des médias de l’Université Western Ontario, où elle enseigne principalement aux étudiants des cycles supérieurs en bibliothéconomie et en sciences de l’information. Ses travaux de recherche antérieurs portaient sur les pratiques de jeunes femmes queer et d’adolescents vivant en milieu rural ou dans de petites villes en ce qui trait à la lecture, à l’identité et aux bibliothèques.
Elle répond qu’après avoir reçu la bourse, « [s]es recherches sont demeurées ancrées dans l’examen empirique du rôle de la lecture dans la vie quotidienne des adolescents et des jeunes adultes. Dans un monde hypermédiatisé, où de multiples modes d’engagements médiatiques s’offrent aux jeunes, l’étude du choix perpétuel et libre de lectures agréables continue de fournir des indications importantes pour notre compréhension des jeunes adultes et du sens que ces derniers dégagent de la lecture. Le statut des ouvrages choisis constitue un élément crucial de mes recherches actuelles, plus particulièrement dans le contexte de l’essor continu que connaît l’édition de livres jeunesse dans le monde entier. »
Beverley Brenna, qui a reçu la bourse Russell en 2012, a publié plus d’une douzaine d’ouvrages destinés aux jeunes et enseigne actuellement au College of Education de l’Université de la Saskatchewan. Dans ses recherches, elle s’intéresse notamment à la littérature canadienne pour enfants et à la littératie. Son roman pour jeunes adultes The White Bicycle (La bicyclette blanche), publié par Red Deer Press, était en lice en 2013 pour le Prix littéraire du gouverneur général, catégorie littérature jeunesse; son plus récent ouvrage, Sapphire the Great and the Meaning of Life (Saphir la grande et le sens de la vie), œuvre de fiction destinée aux élèves de niveau intermédiaire, vise à présenter des personnages LGBTQ+ à un jeune lectorat. Dans ses recherches lui ayant valu la bourse Russell, Mme Brenna, Ph. D., se penchait sur les romans illustrés canadiens afin de cerner des traits et des éléments communs aux ouvrages du genre. Pour en savoir plus sur ses travaux et visualiser des documents PDF de ses recherches sur les romans illustrés, consultez la page des archives sur le site http://www.beverleybrenna.com.
Elle affirme que recevoir la bouse Russell « s’est avéré un formidable tremplin pour diverses activités de recherche et d’enseignement connexes », et que depuis, elle « a réalisé d’autres activités en classe à l’aide de romans illustrés, de même qu’étudié des romans en vers canadiens afin d’en dégager des tendances et des thèmes ». Elle mène actuellement des recherches sur les livres d’images canadiens publiés de 2017 à 2020 grâce à une subvention « Savoir » du CRSH. Désireuse de combler des lacunes perçues dans le contenu offert aux jeunes lecteurs à l’appui des idéaux de justice sociale, Mme Brenna publiera un livre d’images et un autre roman destiné aux élèves de niveau intermédiaire chez Red Deer Press/Fitzhenry & Whiteside au cours de la prochaine année.
Bénéficiaire de la bourse Russell en 2013, Bonnie Tulloch est une étudiante au doctorat et boursière Vanier de l’iSchool de l’Université de la Colombie-Britannique. Elle effectue ses recherches dans le domaine des médias/de la littérature pour enfants et adolescents; sa thèse de doctorat examine les croisements entre l’information, la communication et le récit, en particulier en ce qui a trait à l’interaction des jeunes avec les mèmes d’Internet. Elle s’intéresse aussi à la poésie absurde et à la fiction insulaire pour enfants.
La bourse Russell lui a été décernée dans le cadre de ses travaux sur les romans insulaires canadiens pour enfants et adolescents, qui explorent les liens entre l’imagerie insulaire et l’identité féminine. Ses recherches actuelles approfondissent ces thèmes : « Je continue d’explorer les liens entre l’aventure et la vie domestique dans les romans jeunesse canadiens se déroulant en contexte insulaire et mettant en scène des protagonistes féminins. Je me penche actuellement sur la façon dont L.M. Montgomery et d’autres auteures canadiennes plus contemporaines (notamment Janet Lunn, Polly Horvath, Kit Pearson et Deirdre Baker) se servent de l’espace insulaire pour reconfigurer les limites génériques associées aux récits conventionnels destinés aux garçons et aux filles, créant ainsi un registre différent permettant de représenter et comprendre l’expérience humaine. Une présentation des résultats préliminaires de ces travaux lui ont valu le tout premier Dr. Elizabeth R. Epperly Award for Outstanding Early Career Paper (prix Dr. Elizabeth R. Epperly pour article exceptionnel présenté en début de carrière) du L.M. Montgomery Institute en 2018.
Erin Spring, bénéficiaire de la bourse Russell en 2014, est aujourd’hui professeure adjointe à la Werklund School of Education de l’Université de Calgary. Ses recherches, qui s’inscrivent dans un cadre multidisciplinaire, mettent l’accent sur les croisements de la fiction pour adolescents, du milieu et de la construction de l’identité chez les jeunes Canadiens.
La bourse Russell lui a été remise pour un projet se fondant sur les travaux qu’elles avaient entrepris dans le cadre de son doctorat à l’Université de Cambridge sur la réception faite à la fiction jeunesse contemporaine au Canada par les jeunes adultes autochtones. Elle a publié les résultats de ses recherches financées par IBBY dans divers journaux et recueils édités, dont Young People Reading: Empirical Research Across International Contexts (La lecture chez les jeunes : recherche empirique dans le contexte mondial), édité par Evelyn Arizpe et Gabrielle Cliff Hodges et récemment mis en nomination pour un prix décerné aux ouvrages universitaires par la United Kingdom Literacy Association. Mme Spring, Ph. D., collabore actuellement au projet « Six Seasons of the Asiniskow Ithiniwak: Reclamation, Regeneration, and Reconciliation » (« Six saisons du peuple Asiniskow Ithiniwak : revendication, revitalisation et réconciliation ») lancé par le Centre for Research in Young People’s Texts and Cultures (CRYTC) de l’Université de Winnipeg. Elle poursuit également son travail auprès de jeunes Autochtones et non-Autochtones en milieu urbain à Calgary.
Ruth Bradley-St-Cyr, bénéficiaire de la bourse Russell en 2016, a travaillé pendant trente ans dans l’industrie canadienne de l’édition, notamment dans les volets de l’édition, de la production et du marketing. Elle dirige maintenant Bradley-St-Cyr & Associates, sa propre entreprise de rédaction, de révision et de traduction, en plus d’enseigner la rédaction et le cinéma comme professeure à temps partiel à l’Université d’Ottawa, où elle a obtenu son doctorat en études anglaises et canadiennes en 2014. La bourse Russell a soutenu ses recherches sur les répercussions de la vente de la maison d’édition Ryerson Press, les conclusions de la Commission royale de l’Ontario sur l’édition du livre et le développement de la littérature jeunesse au Canada au début des années 1970.
Mme Bradley-St-Cyr, Ph. D., indique qu’après avoir reçu la bourse Russell, elle a présenté en 2018 un article de recherche intitulé « Ontario’s Royal Commission on … Children’s Literature? » (« La Commission royale de l’Ontario se penche sur… la littérature pour enfants? »), qui constitue le point de départ d’un chapitre d’un ouvrage qu’elle rédige actuellement sur la maison d’édition Ryerson Press et la Commission royale. La parution de ce livre est prévue peu après le cinquantième anniversaire de la vente de la maison d’édition, qui aura lieu à l’automne de 2020.
– Lesley Clement, Conseillère régionale pour l’Ontario
Traduction : Audrey Loiselle
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